Poème : A l’olivier de la Clape
A l’olivier de la Clape
Ô, comme je t’imagine,
En haut de la colline,
Enterrant de tes mains,
Un coffret pour demain !
Je t’embrasse, ravi,
D’un baiser, pour la vie.
Paul Stendhal
Vous pouvez laisser une réponse.
Ô, comme il est beau de te
Lire en cette fin d’été et en cet
Instant, d’imaginer qu’il fait si bon
Vivre au pays des secrets enterrés.
Il m’est si agréable de te sourire,
Et de m’enivrer, de tes vers qui me font tant
Rêver, des bords de la Méditerranée.
Michèle.
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Les lettres de la muse
Ah ! que de beaux moments d’une douce passion,
Ranimant les coeurs d’une si tendre émotion !
Belles lettres, au pied d’un olivier, enterrées,
Remplissez de bonheur ces deux âmes inspirées,
Et gardez pour toujours, tant d’heureux sentiments.
De la divine époque, qui plut tant aux amants,
Emportez les souvenirs, et que chaque soir
Venu, la Lune, illumine de tous leurs espoirs !
Idyllique muse, charmante sylphide, que tes
Écrits, demeurent en ce lieu de sérénité.
Paul Stendhal
Dernière publication sur MICHELE HARDENNE : Livres publiés chez Editions L'Espérance
Que dire de plus sur un tel poète, doux poète, dans un temps hors du temps !
Restez tel que vous êtes.
Tout, dans la tendresse et le bonheur de vous lire.
Chantal
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Madame, vos propos, sont charmants, élégants et si plein de sensibilité !
Merci sincèrement.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Très jolis vers, magnifique image : « enterrer un coffret pour demain », c’est plein de sens, d´à propos. Et comme toujours le style est tout en finesse.
Félicitations.
Ismeralda
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Vos propos émeuvent le poète qui vous remercie sincèrement !!
Bien amicalement.
Paul Stendhal
? : La coupe du Roi (2012-2013) pour l´Atletico de Madrid. Merci Cholo.
Dernière publication sur De Madrid à Liège, me rejoindrez vous dans mes délires