Dimanche 04 septembre 2011
Tendre Poète,
Combien il me tardait de te lire !
Je pensais qu’être pour quelques temps loin de tes yeux, m’éloignerais de ton cœur.
Mais il n’en a rien été.
A chaque lever du soleil, je souriais à l’idée que toi, tu devais encore être glissé sous ta couette et que tu devais poursuivre ce rêve où nous nous retrouvions sous un saule blanc, dans notre jardin des délices.
Sur la plage, les pieds dans l’eau, je laissais mon regard se promener sur la ligne de l’horizon et mes pensées danser sur le flot des vagues.
Les goélands ne se moquaient pas de moi et leur rire, chaque matin, me remplissait d’allégresse.
Le soleil me tenait compagnie et sa chaleur, sa lumière, comblaient le vide de l’absence de tes mots que j’avais tant hâte de retrouver.
Ecris-moi Poète, écris-moi encore ces tendres mots qui sont si chers à mon cœur !
Je t’embrasse tendrement.
Vous pouvez laisser une réponse.
La fusion des âmes marque les mémoires et les tendres sentiments ne nous quittent jamais.
Très jolie lettre à ton âme soeur Michèle.
Félicitations.
Ismeralda
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Bonjour Isa,
Nous vous remercions, Michèle et moi, pour votre gentil commentaire, et pour apprécier notre jeu d’écriture.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
? : La coupe du Roi (2012-2013) pour l´Atletico de Madrid. Merci Cholo.
Dernière publication sur De Madrid à Liège, me rejoindrez vous dans mes délires