Archive pour octobre, 2011

Poème : Quando cor volat

Quando cor volat

Une vraie mélodie du bonheur, où voyage
Libre et heureux, un coeur tant empli d’émotion,
Et qui laisse dans les traces de son sillage,
Des sentiments d’amour, d’une pure passion !

Du monde de l’enfance, à celui des cheveux blancs,
L’imagination nous emmène dans le rêve,
Où tous les espoirs ne sont pas des faux-semblants,
Et où le soleil brille sur toutes les drèves.

Paul Stendhal

Publié dans:Poèmes |on 28 octobre, 2011 |3 Commentaires »

Lundi 17 octobre 2011

Mon Chéri,

Il y a des mots qui ne peuvent s’écrire,
Ils sont comme du gros sel sur une plaie,
Ils contiennent toutes les essences de mon désir,
Mais dans mon cœur, ils restent encore secrets.
Moi aussi, je rêve que dans le feu de notre amour,
Je danse, mon cœur serré contre le tien.
Nos corps s’embrasent jusqu’au lever du jour,
Tes bras enlacent doucement mes reins,
Tes baisers rendent mes lèvres fiévreuses,
Et tes yeux ont le reflet de mon plaisir.
Dans nos soupirs, je suis si heureuse,
Que tous ces mots, je tenais à te les écrire.

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 17 octobre, 2011 |1 Commentaire »

Mercredi 12 octobre 2011

Ma douce amie,

Comme il me tardait de pouvoir te lire, mais j’ai dû m’absenter quelques jours ces derniers temps.
Aussi, je n’ai cessé de penser à toi, à nous, et la lecture de ta dernière lettre, a transporté mon cœur tout auprès du tien, dans l’ivresse de cet amour partagé, qui nous unit tant.
Il n’est pas un rêve, où je ne te vois, ni une pensée qui ne soit pour toi, ni un endroit, où je ne sente ta présence.
Tu es partout, tout le temps auprès de moi et l’air que je respire est empli de l’odeur de ton corps.
C’est par delà les nues, dans ce divin éden, qu’enivrés par ce brûlant désir, nos deux corps s’étreignent dans un amour enflammé.
Tes baisers sont comme un fruit que l’on cueille tendrement. Ils ont le goût de la passion et une délicate saveur exquise.
Tout ton corps s’anime, et s’offre ainsi en s’abandonnant à mes caresses, au plaisir, et à l’amour.
Ma chérie, tu n’as pas à rougir de tes pensées, car tu le sais bien, nous espérons tant, tous les deux, que bientôt elles seront une réalité.
Je te promets, que cette petite clé que tu m’as fait parvenir, le jour où enfin nous serons ensemble, je te la rendrais, car ton cœur n’aura plus jamais besoin de serrure !

Je t’embrasse passionnément, et attends avec impatience de te lire.
Je t’aime infiniment.

Paul Stendhal

(Jeu d’écriture : réponse au courrier de Michèle dans “Correspondance sentimentale », lettre du dimanche 02 octobre 2011).

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 12 octobre, 2011 |5 Commentaires »

Dimanche 02 octobre 2011

Tendre ami que je chéris,

Je ne peux comme toi qu’espérer que nos deux cœurs puissent enfin se défroisser en s’unissant dans cette nuit d’amour, que nos pensées se plaisent à imaginer.

J’aime me souvenir de mes rêves, où dans ce jardin que j’affectionne, je nous vois, nus, sous un soleil se couchant, dont les reflets laissent sur nos peaux les couleurs chaudes d’une fin d’été.

Tandis que tes baisers se déposent comme des pétales de fleurs sur mes seins, mes doigts se traînent dans ta chevelure ondulée et soyeuse.

La douceur de tes lèvres frôlant ensuite mon ventre et l’habilité de tes mains qui me caressent le haut des cuisses, éveillent en moi tant de désirs que j’en rougis à l’idée de te les écrire.

Mon tendre chéri, nous n’avons encore que nos rêves à partager, mais un jour, je te le promets, ils deviendront réalité.

Je n’ai pas la possibilité d’ouvrir la porte du temps, celle où nos corps de chair pourront se toucher, je possède juste une petite clé qui s’ajuste à la serrure de mon cœur et dont je voudrais t’en faire présent, en la joignant à ce courrier.

Je t’envoie mille baisers de tendresse en attendant de te lire.

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 3 octobre, 2011 |6 Commentaires »

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