Lundi 17 octobre 2011
Mon Chéri,
Il y a des mots qui ne peuvent s’écrire,
Ils sont comme du gros sel sur une plaie,
Ils contiennent toutes les essences de mon désir,
Mais dans mon cœur, ils restent encore secrets.
Moi aussi, je rêve que dans le feu de notre amour,
Je danse, mon cœur serré contre le tien.
Nos corps s’embrasent jusqu’au lever du jour,
Tes bras enlacent doucement mes reins,
Tes baisers rendent mes lèvres fiévreuses,
Et tes yeux ont le reflet de mon plaisir.
Dans nos soupirs, je suis si heureuse,
Que tous ces mots, je tenais à te les écrire.
Vous pouvez laisser une réponse.
Bonjour cher poète,
Merci encore de ce compliment qui me touche profondément.
Vos jeux d’écriture avec Michèle me ravissent.
bonne journée à vous.
Amicalement.
Fanette
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Bonjour Fanette,
Le genre épistolaire, permet effectivement de réaliser une correspondance des plus agréables, et le fait qu’elle plaise aux lecteurs, la rend encore plus exquise.
Merci de votre gentil commentaire.
Amicalement.
Paul Stendhal
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