Poème : Cum veris
Cum veris
A l’aube, de ce beau matin,
Quand le paysage est chantant,
Que la garrigue, sent le thym,
Il nous vient, enfin, le printemps !
Parée de toute sa beauté,
La Nature nous émerveille,
Et nos coeurs, ainsi emportés,
S’envolent, dès ce beau réveil.
Paul Stendhal
Vous pouvez laisser une réponse.
bonjour bonjour
je rigole bien sûr
Et bien notre poète serait il en « grève » ?????
belle journée Paul
bisous
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Bonsoir Fanette,
Juste une simple trêve, mais le temps défile si vite !!
Je te souhaite une belle soirée.
Bien amicalement.
Bisous.
Paul Stendhal
Dernière publication sur FANETTE : DEUX PETITS NOUVEAUX
Et oui, le thym est en fleurs dans le var
Amitiés du Sud
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Bonsoir Julia,
Je vous remercie de votre sympathique commentaire.
Cordialement.
Paul Stendhal
Dernière publication sur C'est chez moi! : Au revoir...
La nature se réveille et c’est tant mieux, vive le printemps !!!
ARSENE GRISALI
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Bonjour Alain-Arsène,
Les coeurs fleurent bon le printemps,
Et leur sourire est éclatant.
Ils sont ravis de ce bonheur,
Et prêts pour vivre ce bon heur !
Merci à toi de tes visites quotidiennes sur mon site.
Bien amicalement.
Paul Stendhal
Bonjour Paul
Encore une fois le poète n’a pas son pareil pour nous mettre en émoi et nous faire voir les belles choses qui existent en ce bas monde
Merci à toi de ces si belles phrases écrites, Merci aussi de ces gentils compliments faits en MP je ne suis pas du tout sûre de les mériter
belle journée à toi
bisous
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Bonjour Fanette,
Comme ici, tu l’as joliment dit !
Mais attention, point trop de courbettes,
Car alors, c’est l’arthrose qui nous guette !
Je te souhaite un très bon samedi.
Merci à toi pour tous ces beaux compliments que tu m’adresses.
Bisous à toi.
Paul Stendhal
Bonjour Paul,
Au soir de cette journée
Quand la campagne s’assoupit,
Le coq rentre au poulailler,
Et les poules se posent sur leur nid !
Préparant ses jolis habits,
La Nature se réveille,
Et nous ouvrons nos esprits,
En acceptant toutes ses merveilles !
Tendres bises.
Michèle.
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Bonsoir Michèle,
Le coq, de tout son clair ramage,
Ne peut, que vous rendre l’hommage,
Et, point n’est besoin de fromage,
Pour honorer son beau plumage !
Merci pour ton délicieux poème !
Tendres bises.
Paul Stendhal
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