. Monsieur Philippe Martinez, . À cause de vous, je ne reverrai plus mes deux parents âgés et malades, pour fêter un NOËL, et un Nouvel An, avec eux, (et que je n’ai pu voir fin 2019, eu égard à vos ambitions amphigouriques), car leurs jours sont comptés. Nul merci à vous de votre niveau d’incompétence, depuis déjà longtemps atteint, et de votre souci principal et unique, de vous préoccuper de vos vieux jours, dans de bonnes conditions pécuniaires, auprès de vos proches, vous moquant totalement, et pleinement, de celles du PEUPLE FRANÇAIS, qui d’ailleurs ne vous appartient pas, et sur lequel vous ne pouvez, ni ne pourrez jamais, exercer aucun pouvoir ! Vous n’êtes qu’un trublion, un importun, un infatué, et un Sycophante. . Le poème qui suit, date déjà de quelques années, mais je pense qu’il vous sied à merveille !