Archive pour la catégorie 'Correspondance sentimentale'

Lundi 17 octobre 2011

Mon Chéri,

Il y a des mots qui ne peuvent s’écrire,
Ils sont comme du gros sel sur une plaie,
Ils contiennent toutes les essences de mon désir,
Mais dans mon cœur, ils restent encore secrets.
Moi aussi, je rêve que dans le feu de notre amour,
Je danse, mon cœur serré contre le tien.
Nos corps s’embrasent jusqu’au lever du jour,
Tes bras enlacent doucement mes reins,
Tes baisers rendent mes lèvres fiévreuses,
Et tes yeux ont le reflet de mon plaisir.
Dans nos soupirs, je suis si heureuse,
Que tous ces mots, je tenais à te les écrire.

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 17 octobre, 2011 |1 Commentaire »

Mercredi 12 octobre 2011

Ma douce amie,

Comme il me tardait de pouvoir te lire, mais j’ai dû m’absenter quelques jours ces derniers temps.
Aussi, je n’ai cessé de penser à toi, à nous, et la lecture de ta dernière lettre, a transporté mon cœur tout auprès du tien, dans l’ivresse de cet amour partagé, qui nous unit tant.
Il n’est pas un rêve, où je ne te vois, ni une pensée qui ne soit pour toi, ni un endroit, où je ne sente ta présence.
Tu es partout, tout le temps auprès de moi et l’air que je respire est empli de l’odeur de ton corps.
C’est par delà les nues, dans ce divin éden, qu’enivrés par ce brûlant désir, nos deux corps s’étreignent dans un amour enflammé.
Tes baisers sont comme un fruit que l’on cueille tendrement. Ils ont le goût de la passion et une délicate saveur exquise.
Tout ton corps s’anime, et s’offre ainsi en s’abandonnant à mes caresses, au plaisir, et à l’amour.
Ma chérie, tu n’as pas à rougir de tes pensées, car tu le sais bien, nous espérons tant, tous les deux, que bientôt elles seront une réalité.
Je te promets, que cette petite clé que tu m’as fait parvenir, le jour où enfin nous serons ensemble, je te la rendrais, car ton cœur n’aura plus jamais besoin de serrure !

Je t’embrasse passionnément, et attends avec impatience de te lire.
Je t’aime infiniment.

Paul Stendhal

(Jeu d’écriture : réponse au courrier de Michèle dans “Correspondance sentimentale », lettre du dimanche 02 octobre 2011).

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 12 octobre, 2011 |5 Commentaires »

Dimanche 02 octobre 2011

Tendre ami que je chéris,

Je ne peux comme toi qu’espérer que nos deux cœurs puissent enfin se défroisser en s’unissant dans cette nuit d’amour, que nos pensées se plaisent à imaginer.

J’aime me souvenir de mes rêves, où dans ce jardin que j’affectionne, je nous vois, nus, sous un soleil se couchant, dont les reflets laissent sur nos peaux les couleurs chaudes d’une fin d’été.

Tandis que tes baisers se déposent comme des pétales de fleurs sur mes seins, mes doigts se traînent dans ta chevelure ondulée et soyeuse.

La douceur de tes lèvres frôlant ensuite mon ventre et l’habilité de tes mains qui me caressent le haut des cuisses, éveillent en moi tant de désirs que j’en rougis à l’idée de te les écrire.

Mon tendre chéri, nous n’avons encore que nos rêves à partager, mais un jour, je te le promets, ils deviendront réalité.

Je n’ai pas la possibilité d’ouvrir la porte du temps, celle où nos corps de chair pourront se toucher, je possède juste une petite clé qui s’ajuste à la serrure de mon cœur et dont je voudrais t’en faire présent, en la joignant à ce courrier.

Je t’envoie mille baisers de tendresse en attendant de te lire.

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 3 octobre, 2011 |6 Commentaires »

Mardi 27 septembre 2011

Ma tendre chérie,

Combien de fois je t’ai rêvée, aimée, et enlacée dans mes bras ?
Tant de fois que je ne peux plus les compter !
Quand, allons-nous enfin nous retrouver ?
Tous les deux, nous l’espérons tellement !
Tes mots sont un vrai sourire, à eux seuls.
J’ai une telle envie de nous, que je nous vois tous les deux, nus, nos deux corps s’étreignant dans la chaleur de notre amour, ton corps exhalant le parfum de la passion, et nos désirs, nous transportant si loin, unis ensemble !
Pardonne-moi, mon bel amour, de t’écrire aussi sincèrement, mais je sais, que tu espérais que je le fasse !
Quand tu liras ma lettre, mon coeur sera à tes côtés, et bientôt, je le souhaite, c’est dans les bras l’un de l’autre que nous pourrons nous caresser.
Mon tendre amour, je suis impatient de te lire.
Je t’envoie mille baisers de tendresse, en attendant de nous voir.
Je t’aime passionnément.

Paul Stendhal

(Jeu d’écriture : réponse au courrier de Michèle dans “Correspondance sentimentale », lettre du lundi 19 septembre 2011).

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 27 septembre, 2011 |3 Commentaires »

Lundi 19 septembre 2011

Mon ami ,

Cette nuit, un ange s’est posé sur le bord de mon lit.

Toutes ailes déployées et vêtu d’une robe de lumière, il m’a souri puis a regardé le billet que je tenais sur mon coeur.

Le papier était doux au toucher, je l’avais porté aux lèvres pour y déposer un baiser et je me suis laissée emporter par une fragrance de fougère boisée et chyprée.

Cette odeur devait être la tienne et il me plaisait de t’imaginer à mes côtés.

Les mots qui y étaient dessinés s’adressaient à mon coeur et pendant que ses battements les lisaient, mon esprit se rappelait ces instants de délices où nous étions côte à côte endormis.

Ce merveilleux thé au jasmin, dont tu sais qu’il est mon préféré, je nous voyais le partager dans ce petit salon où chaque soir tu m’attendais.

Mon ami, ces moments tant chéris bientôt nous pourrons à nouveau les partager, et même si l’été en est à sa fin, la nouvelle saison devrait pouvoir nous rapprocher.

Toute ma tendresse accompagne ces mots, et c’est avec une douce attente que je me réjouis d’avoir de tes nouvelles.

Je t’embrasse avec tout mon amour.

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 19 septembre, 2011 |1 Commentaire »

Mercredi 14 septembre 2011

Ma belle amie,

Ô comme je suis heureux, d’avoir pu lire ta lettre ce matin ! Tes mots illuminent ma journée, et rayonnent une douce et agréable chaleur sur ma vie.
Tu as toujours été proche de mon cœur, même le temps de ton absence, et je n’ai jamais cessé de penser à toi.
Ô que oui, tu m’as manqué, mais maintenant, nous allons à nouveau, comme à l’accoutumée, pouvoir nous retrouver ensemble, près de notre saule, et combien cela me réjouit !
Chaque soir, durant ce temps, je nous servais le thé, celui que tu aimes, mais dans notre petit salon, où nous le partagions, j’étais bien seul.
Pendant ces longs moments, quand la Lune moirée irisait d’une pâle lumière diaphane, j’ai sans fin, lu et relu tes poèmes et tes galants écrits, imaginant ton beau visage sourire, et entendant ta claire voix, résonner comme une aria, dans une charmante mélodie.
Quand pourrons-nous encore nous endormir dans les bras l’un de l’autre, et ensemble passer une nuit délicieuse emplie de tendresse et de volupté ?
Il m’en tarde !
J’attends avec impatience ta prochaine missive, et mon cœur t’envoie mille baisers sur des ailes d’ange !

Je t’embrasse tendrement.

Paul Stendhal

(Jeu d’écriture : réponse au courrier de Michèle dans “Correspondance sentimentale », lettre du dimanche 04 septembre 2011).

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 14 septembre, 2011 |4 Commentaires »

Dimanche 04 septembre 2011

Tendre Poète,

Combien il me tardait de te lire !
Je pensais qu’être pour quelques temps loin de tes yeux, m’éloignerais de ton cœur.
Mais il n’en a rien été.
A chaque lever du soleil, je souriais à l’idée que toi, tu devais encore être glissé sous ta couette et que tu devais poursuivre ce rêve où nous nous retrouvions sous un saule blanc, dans notre jardin des délices.
Sur la plage, les pieds dans l’eau, je laissais mon regard se promener sur la ligne de l’horizon et mes pensées danser sur le flot des vagues.
Les goélands ne se moquaient pas de moi et leur rire, chaque matin, me remplissait d’allégresse.
Le soleil me tenait compagnie et sa chaleur, sa lumière, comblaient le vide de l’absence de tes mots que j’avais tant hâte de retrouver.
Ecris-moi Poète, écris-moi encore ces tendres mots qui sont si chers à mon cœur !
Je t’embrasse tendrement.

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 4 septembre, 2011 |1 Commentaire »

Mercredi 31 août 2011

Ma si tendre amie,

Que tes mots sont doux à lire et sourient au poète, ce matin, au soleil levant, à l’aube de ce nouveau jour ! Ils embaument mon cœur, d’un agréable parfum, aux senteurs d’un affectueux bonheur. Par ces vers, me voilà enchanté, et, sache que ma pensée n’a cessé de t’accompagner, durant ton voyage au pays des cigales, de la garrigue, de la vigne, des oliviers, de la mer et du soleil.
Ton absence fut douloureuse, mais le souvenir de tous ces moments merveilleux, passés ensemble, a apaisé ces longs instants, dans l’attente de ton retour.
Qu’elle fut si exquise et magique, cette dernière soirée en tête-à-tête !
Au pied d’un saule blanc, nous nous sommes retrouvés. Les derniers éclats du soleil, traversant le vert feuillage et venant se poser sur nous, rayonnaient notre joie. Le chant des oiseaux autour de nous, a composé une bien belle mélodie, qui a bercé nos cœurs enlacés, et la nature charmée, en silence s’est inclinée, pour écouter notre allégresse.
Ô combien, ce jardin est celui de nos délices !
Puis ce merveilleux repas, que nous avons eu tous les deux, avait le grisant goût du partage, et les chandeliers illuminant d’une douce clarté notre table et nos visages, ont animé tant de lueurs dans nos regards, que nos yeux pétillaient de mille étincelles.
Une valse de mots attendrissants, a transporté nos âmes, par delà les confins des sphères étoilées, nous portant sur des ailes d’ange, au bord d’une si belle nuit, où la Lune a brillé, et la muse, dans les bras de son amant, s’est endormie, confiante et heureuse. Le souvenir de ce divin temps, restera toujours gravé, dans le cœur d’une belle éternité.
Ô toi, mon amie, comme ce soir, il me tarde, de te retrouver, et voir nos doux souris, qui éblouissent et ravissent nos vies !

Je t’embrasse tendrement.

Paul Stendhal

(Jeu d’écriture : réponse au courrier de Michèle dans “Correspondance sentimentale », lettre du samedi 27 août 2011).

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 31 août, 2011 |1 Commentaire »

Samedi 27 août 2011

Poète, mon ami,

Je suis émue de ta correspondance,
Je viens de lire tes sonnets et stances,
Et je m’en veux de mes silences.
Pardonne-moi de mon absence,
Et de t’avoir laissé en souffrance.
Je suis partie, j’étais en voyage,
Mais tu étais dans mes bagages,
Ceux de ma pensée, et l’image
De ton sourire, tel un mirage,
A embelli mon paysage.
A la lecture de tes doux poèmes,
Mon cœur s’envole et se promène
Par delà les monts et les plaines,
Emportant avec lui, ma peine,
De n’avoir encore dit « je t’aime ».

Michèle

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 28 août, 2011 |Pas de commentaires »

Lundi 22 août 2011

Stance à la muse,

Ô, soyons fous, et vivons dangereusement !
Comme il m’est doux de te dire : « je t’aime tendrement »,
Toi, ma si belle muse, qui tant, plais à mon coeur,
Et transportes mon âme, au delà du bonheur !

Paul Stendhal

Publié dans:Correspondance sentimentale |on 22 août, 2011 |1 Commentaire »
12

Le phaéton véloce |
nadorculturesuite |
Des histoires plein la tête. |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | jonathanjoyeux
| paizo2
| Les Logophiles