Poème : Une chatte

Une chatte
 

Thaïs à mes côtés, a regardé Bingo,
Et, a bien chuchoté, qu’il était vraiment beau.
Elle a lu le poème, et s’est mise à miauler,
En me disant, je l’aime, je suis tout enjôlée !

N’en croyant pas ouï-dire, la voyant lire ainsi,
Et surtout s’esbaudir, séant, j’en fus assis !
Elle se mit à penser, qu’elle pouvait le choyer,
Devenir fiancée, et fonder un foyer ! 

La voyant si heureuse, je l’ai bien approuvée,
Elle était amoureuse, et son coeur éprouvé.
Elle s’est mise à rêver, de toute sa beauté,
Qu’elle allait le trouver, le fameux chat botté !

Ne pouvant résister, à sa grande émotion,
Pour ne pas l’attrister, j‘ai loué sa passion !
C’est demain qu’elle arrive, merci de l’accueillir,
Elle est toute lascive, il ne faut pas faillir !

On les aime ces chats, ces merveilleux amis,
Ce sont de vrais pachas, de grande académie !
Thaïs vient de partir, elle était tout heureuse,
De pouvoir se blottir, près de l’âme amoureuse !

 
Paul Stendhal
25/09/2014

 

 

Publié dans : Poèmes | le 25 septembre, 2014 |Pas de Commentaires »

Dithyrambique

Définition du mot Dithyrambique dans le Dictionnaire

LITTRÉRAL et MENLÉMOT

 

 

Dithyrambique /di.ti.ʁã.bik/ :

 

Adjectif 

Sens académique : Se dresse quand dix cons plient membres chez les beaux vidés !

Exemples :              1. Dix cours dithyrambiques, discours qui surviennent après,                                                           l’introduction dans les loges !

                                  2. Discours à l’aube, hâtif !

                                  3. Dix courts dans l’eau dative !

 

Sens au figuré :       Le Capri des finis !

Par analogie :          Un homme alambiqué !

Par extension :       Une muse dithyrambique est une nymphe aux manies !

Étymologie :           En grec surnom d’un « bas-cul » !

 

Citation :                Quand il dit, le tyran nie que le vit est court,
                                 Et que manie « festant », en criant alentour,
                                 De toute révolte, des maux, râle et se pique*,
                                 Il sait lui, le tyran, qu’il est dithyrambique !
                                 (Schahkaspire)

 

NDA* :                     À l’origine le texte initial du troisième vers était :

                                 «De toute révolte, des beaux mâles épiques,» !

 

 

 

 

Paul Stendhal

21/06/2013

 

Publié dans : Poèmes | le 24 septembre, 2014 |Pas de Commentaires »

Bonjour cher ami

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Musique : The Hours – PHILIP GLASS

 

Bonjour cher ami

 

« J’aurais tant à écrire, tant à vous répondre, sur cette lettre, mais ce n’est pas que les mots me manquent, non, simplement la peur, celle de vivre et de partager ! Je sais la vie est ainsi, et chacun, la mène comme il peut, comme il se doit ! Il n’est pas de meilleur allié qu’un ami, quand dans sa propre existence on reste seul. On écrit on lit, on approuve on déteste mais au final on est ! Si seul qu’on soit, on croit au beau de la vie, on croit simplement qu’elle peut être belle. Une chatte, de son nom Thaïs, à mes côtés m’accompagne, dans mes escapades littéraires et elle, seule me guide et m’approuve ! Merci pour ce long courrier auquel il me faudra bien vous répondre, mais sachez, que l’écrivain que je suis est en perpétuelle révolte, et qu’il ne cessera de l’être, que le jour de son dernier souffle. Combien je vous apprécie, mais cela n’intéresse personne, aucun de ces ignares incultes ! Je m’emporte, je m’emporte, mais le temps m’est compté ! Il me faut réagir, crier, parler, écrire, dire ma révolte ! Et quand bien même la vie faisant sa courbette, emporte l’âme de celui qu’elle surveille, en s’en emparant, rien, non rien de rien ne peut la soulager, car la souffrance une fois née, ne peut que faire souffrir ! Dans l’immensité du firmament, il brille une étoile plus que les autres, et cette étoile nous raconte l’histoire d’une vie. Maintenant je suis prêt, vivre ou mourir il faut choisir ! Les mots, toujours des mots, ces mots qui bousculent toute une foi, et quelle foi ! Je ne sais où je vais, mais je sais que j’y vais ! Seul dans ce désert de l’esprit, loin de tout ami, proche de toute vie, je pars, je pars pour longtemps, longtemps et loin, pour ce pays où l’on n’arrive jamais, mais qui vous accueille comme un prince, certes, pas des mots, mais comme un prince. Le voile déchiré se couche sur le jour, puis la nuit s’en va lentement, laissant sa place au crépuscule du matin. Du poète on dira qu’il s’est endormi, et que demain dans sa vie, brillera le soleil ! De la pluie qui tombe sans relâche comme le ressac de la marée, ou la bruine du temps convenu, on dira, qu’il se lèvera l’âme en joie ! »…

Il a tant aimé parler avec vous, il a vraiment aimé vos textes, mais il souffre d’être ce seul écrivain, qui lui, vous reconnait ! Il s’en va doucement, et même son nom ne fera pas mémoire, mais avec rage et détermination, il se sera battu jusqu’au bout ! Le soleil s’est levé, la lune s’endort, et lui, voyage dans un temps poétique, un temps qui n’existe plus, un temps de rêve. Bel ami J-B, il est là, il n’est plus, mais il reviendra, comme l’on revient toujours de Neptune, là où il est parti ! En attendant sagement son retour, il m’a demandé de vous laisser cette musique, à laquelle il était particulièrement attaché. Il sait qu’elle vous plaira, et que vous lui pardonnerez son absence ! Oui vous êtes surtout son ami, et vous le resterez toujours, mais mon maître s’en est allé loin de là, loin d’ici, et dans son voyage il m’a dit de vous saluer comme un prince, un prince ami, pour qui il a de l’Amitié ! Vous ne le quitterez pas, car il vous a emmené dans ce lointain périple, et il vous supplie de lui accorder votre clémence !

Ce matin mon maître est fou, mais je l’écoute, je pleure, je pleure de lui… Il est si généreux et il reçoit si peu, je le pleure ! Il s’en est allé, il a trop souffert, il ne supportait plus sa souffrance ! Il reviendra sûrement un jour, le cœur moins lourd, l’esprit libre, et l’âme en paix !

À bientôt mon ami, à bientôt de vous lire, à bientôt de vous entendre, à bientôt simplement. Je serais toujours là !

Avant de partir, il a écrit ces quelques mots pour vous : « Toute la vie en un éclair, et dans cet éclair, sa vie entière ! Aimer jusqu’à l’Amour, et ne jamais s’en éloigner ! »

 

Paul Stendhal

25/03/2014

Publié dans : Correspondance | le 20 septembre, 2014 |Pas de Commentaires »

Poème : À ma muse

À ma muse 

 

J’ai trouvé, un coin de paradis,
Près d’une femme que je chéris.
Elle est si merveilleuse et si douce,
Avec sa belle et jolie frimousse.

Rayonnant d’une infinie tendresse,
Il n’est nul besoin du Népenthès,
Pour s’émouvoir de sa gentillesse,
De sa splendeur, et de sa jeunesse.

Pour celui qui l’écoute et l’entend,
Son souris d’ange, comme un bonheur,
Et un regard pur, offrant son cœur,
Elle est la fée magique d’antan.

Pourtant cette femme, a l’âme en pleurs,
D’un passé,  d’une vie de douleurs.
Étouffant sa peine en long silence,
Blessée pour toujours, de tant d’absence.

Digne jusque dans l’abnégation,
Elle s’est résignée par discrétion,
À suivre seule, ce long chemin,
D’une triste vie sans lendemain.

Elle est une muse, et au-delà,
Une vraie femme, au nom de diva.
L’âme en pleurs de tant d’iniquités,
Mon hymne s’élève à sa bonté.

Dans le ciel au-dessus des nuages,
Vole libre un oiseau esseulé.
Dans ce monde il se sent exilé,
Et il semble ne plus avoir d’âge.

Dans un pré sur l’adret des montagnes,
Enfin, un bonheur lui a souri.
Il s’est reposé dans la campagne,
Auprès de celle dont il s’est épris.

C’est dans le secret de son idylle,
Dans cet Éden aux parfums des îles,
Qu’apaisé par autant de douceur,
L’amour réchauffa un peu son cœur.

Loin de vouloir bousculer ta vie,
Mais dans un accent de vérité,
Je souhaite enfin dire mon envie,
D’être pour toujours à tes côtés.

Ce pays qu’on ne connait jamais,
Tu me l’as fait découvrir, tu sais,
Et c’est si peu dire qu’auprès de toi,
Enfin, j’ai retrouvé de la joie.

J’ai reçu un coin de paradis,
Grâce à toi, muse, que je chéris,
Et je veux te dédier ce poème,
Pour te dire vraiment, que je t’aime.

 

Paul Stendhal

17/09/2014

Publié dans : Poèmes | le 16 septembre, 2014 |Pas de Commentaires »

Poème : Chère Ela

Chère Ela
 

Ô combien ! Madame, vous me voyez surpris,
Mais d’aucune façon, je ne m’en suis marri !
Il est un grand amour, que celui des lettres,
Qu’aucune exégèse, ne laisse apparaître.
 
Il n’y a pas de loi, en l’art poétique,
Qui ne sied à l’auteur, que sa seule émotion,
En voguant son âme, des plaisirs attiques,
À l’orbe des confins, de sa grande passion !

 
Bien mal, il en prendrait, à tout dandy pédant,
De n’être qu’un faraud, au savoir impudent,
Brandissant son émoi, en souris de salon !
 
L’humble aède, orné des lauriers du Pinde,
Sait uniment, et sans manier la guinde,
Vous servir, sans lame, ni aucun gonfalon.

 
Paul Stendhal
07/09/2014

Publié dans : Poèmes | le 14 septembre, 2014 |Pas de Commentaires »

Poème : Harmonies inachevées (I)

HARMONIES INACHEVÉES (I)

 

Ô mon âme ! Que de peine ! … Dans ta chair, dans ton corps,
La douleur est pesante ! Un funeste destin
Telle une ombre alanguie, frappe encor, et encor,
Comme un feu dévorant, et qui point ne s’éteint !
N’auras-tu donc de cesse, d’ainsi me tourmenter,
Dans ce bien sombre exil, où mon cœur en souffrance,
Loin des orbes luisants, erre dans la tour hantée,
Aux confins éthérés de la désespérance ?
Le soleil noir de la destinée est tombé,
Dans un dernier soupir, l’arc-en-ciel a flambé,
Aux bords de l’Achéron, dans les gouffres amers,
Où tu tires mon âme, toi l’horrible chimère !

Regrets du temps passé, des désirs interdits,
Ceux d’une âme troublée par les feux du silence,
Rêvant son Icarie, miroir du paradis,
En volutes de mots écrits tout en nuance,
Narguant les perfidies d’une vie d’illusion,
Portant haut dans son coeur l’oriflamme d’évasion,
L’élégie d’un grand vide, celui de tant d’absence,
Qui marqua pour toujours, celui de son enfance,
Fleurs de la nostalgie, lumière et pureté,
Rendez à cette âme meurtrie, sa liberté !

Dans l’orage du désespoir
Luit un soleil bleu ;
Il peint sur une toile noire
Le silence qui pleut.

Un instant de bonheur, un moment de printemps,
L’éphémère uranie, dans les couleurs du vent,
Porte le souvenir d’une douce musique,
Qui berce encor mon coeur, de son air idyllique !

Paul Stendhal

Publié dans : Poèmes | le 11 juin, 2013 |Pas de Commentaires »

Mercredi 22 mai 2013

Mercredi 22 mai 2013

Depuis quelques jours, il ne dormait plus. Assis devant son bureau, ce mercredi à quatre heures du matin, il lisait et relisait la dernière lettre qu’elle lui avait envoyée. La nuit était froide, et sa vieille veste polaire élimée ne le réchauffait pas. Il se servit un thé. Il aurait voulu qu’elle soit là pour le partager avec elle, rire avec elle, lui dire des mots simples et doux comme cette musique de Mozart qu’il écoutait. Il alluma une cigarette, et s’imagina que s’il avait dû répondre à son dernier mail, il lui aurait dit qu’à force de se persuader d’une chose on finissait par s’en convaincre, et que parfois les fausses certitudes pouvaient conduire un homme innocent à se retrouver accusé à tort, condamné sans recours à avoir « la tête tranchée », et exécuté sans délai ! Sa faute, l’avoir simplement aimée d’un cœur sincère et « pur ».  Il lui aurait dit que sa conviction était devenue pour elle le seul moyen de préserver la confiance des siens, en épargnant le calme et la tranquillité de sa famille, et en sacrifiant la vérité de ses sentiments sur l’autel de l’amour. Il ne lui parlerait pas de sa douleur, ni de l’humiliation de certains de ses propos, ni de la peine qu’il avait ressentie, car il savait qu’il y avait des cas où une femme devait savoir être suffisamment forte quand elle pensait qu’il n’y avait pas d’autre solution. Il lui dirait sûrement qu’elle avait été un peu vite pour ainsi le lâcher en pâture à la vindicte publique et décider de lui adresser ses adieux en lui demandant de ne plus jamais la contacter. Il penserait peut-être que son amour n’avait tenu qu’à un fil et n’était pas aussi véritable qu’elle l’avait prétendu, et qu’il l’avait cru, mais il s’y refusait et se morigénait, car il espérait au fond de lui qu’elle avait été sincère.

Le concerto pour violon avait fini, Thaïs la petite chatte dormait paisiblement sur le lit, dehors le crépuscule du jour prolongeait le silence qui régnait, et seul assis devant son bureau, une cigarette allumée, il était simplement heureux d’avoir passé une heure en sa compagnie, en imaginant la douceur de son souris et la lumière de son regard. Secrètement il se mit à espérer en son cœur qu’elle pensait à lui aussi, et que bien vite elle le lui dirait, en lui racontant l’histoire de ces deux jeunes enfants – allongés côte à côte dans l’herbe du pré parmi les bleuets les jonquilles et les coquelicots au bas de la montagne, les pieds dans l’eau de la rivière où les truites fraient en paix, – regardant voler libres et heureux les oiseaux dans un ciel bleu et ensoleillé, et qui en se donnant la main vivaient un simple bonheur ! Oui, il espérait que bientôt elle aurait envie de le joindre pour partager avec lui ce beau conte, dans la vérité de ses sentiments et la liberté de son cœur. Ce soir, il essaierait de trouver le sommeil, et s’il y parvenait, il savait qu’il rêverait. Dans cet espoir, il voulait « Croire » que quelque part, où qu’elle se trouvait, elle pensait à lui avec autant de sincérité.

Paul Stendhal

Publié dans : Prose Libre | le 2 juin, 2013 |Pas de Commentaires »

Poème : Pascal et Thaïs

(Violon – Anne-Sophie Mutter – Méditation de Thaïs – Jules Massenet –)

Pascal et Thaïs

 

Le jour se couche et la nuit commence à revêtir de son manteau sombre la nature encore éveillée, tout comme une paupière se referme sur l’œil. Je ne vois plus rien, mais je me souviens ! Je me souviens de ce garçon, qui encore petit, rêvait de devenir grand, car pour lui, il y voyait là une porte vers la liberté et l’indépendance. Je me souviens de cette vie passée qui fut celle où ce petit garçon devenu grand, compris tout-à-coup, qu’il était papa, et qu’il avait déjà quatre enfants. Je me souviens de ces Noëls merveilleux, où l’impatience, la naïveté, et la joie de mes enfants, emplissaient la maison familiale d’un vrai bonheur certain. Alors comme elle fut longue cette route, qui vous fait croire que la vie est belle et qu’un jour le soleil illumine de tous ses feux votre chemin. Mais je me souviens maintenant, que le jour est tombé, et qu’une paupière s’est refermée, après qu’une larme ait commencé de couler, partant pour on ne sait où, cheminant cahin-caha, en regardant devant elle. Je me souviens que petit déjà je croyais que la vie serait belle. Maintenant que je suis grand je sais que la conquête du temps, si belle soit-elle, ne fait goûter qu’une infime part de bonheur, un bonheur perdu qui se meurt avant de vivre, car la vie est ainsi, comme une faux, sapant la pureté des idées, la sincérité d’un cœur, la vérité d’une âme, sans souci de la peine et de la tristesse, qu’elle laisse sur son passage. Du plus loin que je me souvienne, la vie me paraissait belle, et ce qui est merveilleux c’est que, le petit que j’étais, a grandi en le croyant. Aujourd’hui, mon regard est certes bien autre pour ne pas dire différent. Maintenant, l’homme que je suis aime à se rappeler de ce petit garçon qui croquait la vie à pleine «  envie de vivre  ». Le bonheur est peut-être là, et j’ai beau me souvenir du plus loin que je puisse, mais je ne parviens plus à m’en souvenir. Une larme est tombée, et en tombant elle est morte dans sa chute. Une paupière s’est fermée, et a laissé s’envoler la beauté d’une vie. Un petit enfant est mort, depuis longtemps déjà, et dans mon âme, je ressens sa candeur. Je sais qu’il semble enfin heureux, et l’homme que je suis devenu, souvent se tourne vers lui, et comme des adieux sur le quai d’une gare, ils se regardent, et s’échangent un sourire, comme pour se dire, « je t’aime ». Le petit enfant est mort, et l’homme qui le regardait pleure de tout son corps. Une page s’est tournée, le passé a disparu, et l’homme a fait ses bagages pour repartir sur cette route déjà trop longue d’une vie à laquelle il voulait croire. Seul dans ce vertige des sens, du plus loin que je me souvienne, quand je repense à cet enfant disparu, je sais que ma plus belle histoire d’amour, c’était lui, et au-delà, la vie tout simplement. Une larme s’est envolée vers ce pays que l’on ne connaît pas, et dans le firmament étincelant d’étoiles, il en est une qui brille plus que les autres. Je crois bien qu’elle ressemble à l’âme ressuscitée d’un petit enfant mort, qui maintenant veille au loin et brille du bonheur d’exister quand la nuit s’est couchée. Lorsque je crois l’apercevoir, une douce clarté diaphane éclaire mon visage, me rappelant de si lointains souvenirs.

 

Paul Stendhal

Publié dans : Prose Poétique | le 25 avril, 2013 |1 Commentaire »

Poème : Parole

Parole

Aucun des sentiments,
De tous ceux que l’on ment,
Ne peut jamais tenir,
Et loin de réunir,
Ils sont nés pour mourir !

Paul Stendhal

Publié dans : Poèmes | le 25 avril, 2013 |1 Commentaire »

Le petit hameau de Besse dans le Puy de Dôme

Photographies : © Laurence.Serre Marinier
Diaporama : © Paul Stendhal 
Musique : © Liona Boyd – T. Albinoni- Adagio For Guitar And Strings

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Attente*

J’ai choisi ce coin de misère,
Où le printemps naît, souviens-t-en,
Où les pensées voguent en l’air,
Odeur du temps, coin de misère,
Et souviens-toi que je t’attends,
Jusqu’à la fin des nuits du temps.

Paul Stendhal

*En hommage à Guillaume Apollinaire pour son poème « L’Adieu » tiré de son recueil « Alcools ».

Publié dans : Diaporama, Poèmes | le 14 avril, 2013 |4 Commentaires »
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